Pour imaginer le "monde d'après", le philosophe Bruno Latour a conçu un questionnaire en trois points. L'Obs l'a soumis à des économistes, scientifiques ou politiques, de Thomas Piketty à Nicolas Hulot en passant par la Première ministre d'Islande. Sommaire. Le monde d'après. Bruno Latour : "C'est à la société civile d'agir !"

La tonalité souverainiste des discours du président depuis la crise du coronavirus étonne. Elle renvoie à un épisode méconnu: son passage au Mouvement des Citoyens de Jean-Pierre Chevènement à la fin des années 1990.

La pandémie de Covid-19, qui a vu se succéder plusieurs vagues épidémiques, chacune assortie de mesures de restrictions évoluant en fonction de la maladie, a suscité, outre l’angoisse propre au risque de contracter le virus, des agacements, des doutes, de la méfiance, voire un rejet à l’égard des gouvernants et de ceux qui les conseillent - experts scientifiques, médecins ou autres.

Lobbys, fonctionnaires, cercles de réflexion... Ils ont perdu tous leurs repères depuis que Trump occupe la Maison-Blanche. Et tentent de s'adapter au rythme du nouveau président.

Pour le fantasque « matheux » de l'Assemblée, la politique est une science comme une autre.

Quels secrets, quelles informations peuvent bien contenir les mystérieux bristols griffonnés que s'échangent élus et ministres au Parlement ?

Dans un livre surprise, l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron raconte l'Elysée, «l'Etat profond», ses affaires, ses ambitions... Rencontre. Sommaire. Alexandre Benalla, le livre des secrets. "Je suis le fusible du pouvoir". L'incontrôlable

Il y a trente ans, l'effondrement du bloc soviétique aurait inauguré une nouvelle ère : celle de la démocratie et du capitalisme universels qui, régnant désormais de concert et sans partage, devaient accoucher d'un monde pacifié. Comme l'a très tôt vu Jacques Rancière, cette prophétie n'a servi qu'à dissimuler la violence d'un camp autoproclamé du « bien ».

La politologue lance un cri d'alerte face à l'affaissement du débat public. Et veut croire, contre vents et marées, que le pire n'est pas certain.

Dix ans après son accession à l'Hôtel de Ville, la maire socialiste de Paris dresse un premier bilan de ses deux mandats. Et décoche quelques flèches.