Sur Twitter, Face book ou encore LinkedIn, des hommes et des femmes s'efforcent de mettre la technologie à la portée de tous. Et donc de la rendre plus solidaire, accessibles à ceux qui en ont besoin.

Bercy l'a annoncé, ses fonctionnaires examineront désormais vos photos sur les réseaux sociaux pour voir si votre train de vie correspond à vos déclarations. Mais ils disposent en fait depuis des années d'un arsenal numérique bien plus diversifié et redoutable.

Ils sont médecins, profs, avocats... et ont en commun de parler de leur quotidien sur les réseaux sociaux sous couvert d'anonymat ! Parfois par choix, pour gagner en liberté de parole. Souvent par obligation, pour des raisons de déontologie ou d'éthique.

Avec un nombre de publications qui a littéralement bondi lors de la pandémie, les deux applications favorites des jeunes sortent du cadre du divertissement pour devenir de véritables outils de lutte sociale.

Encadré, professionnalisé et débarrassé de ses mauvais élèves, le secteur se réinvente pour coller aux attentes de son public.

Davantage que leurs aînés, les jeunes adultes baptisés à Pâques revendiquent leur religion de manière visible et bousculent l'Eglise. Mais refusent, souvent, de se laisser enfermer dans la case "tradi réac".

Impacts sur l'état mental, l'activité physique, l'apprentissage du langage chez les enfants, mais aussi, avec les réseaux sociaux, sur les relations humaines et la société dans son ensemble : la surconsommation d'écrans est en train de devenir un vrai problème de santé publique. Le point sur les travaux et recommandations des experts.

Fin 2018, la présidence s'est laissé surprendre par le mouvement des Gilets jaunes. Pourtant, tout avait été annoncé sur des groupes Facebook ou dans des boucles Telegram. Une cellule d'« écoute sociale » a donc été créée pour décortiquer TikTok et trier les tendances qui font le buzz. De quoi nourrir désormais annonces et décisions politiques. Non sans écueils.

Et si Donald Trump devait sa réélection à son habileté à provoquer de l'indignation ? En cause, les réseaux sociaux, dont les algorithmes incitent à surenchérir dans l'expression d'opinions extrêmes. La neuroscientifique et psychologue américaine Molly Crockett décortique cette mécanique de la colère, dont l'information et la démocratie sont les premières victimes.

Phénomène audiovisuel du début d’année, la minisérie « Adolescence » met en lumière l’univers des croyances sexistes sur les réseaux sociaux des jeunes dès l’âge de 13 ans. Avec des conséquences dramatiques.