Meloni, Milei, Orban, Bukele... Au moment de prêter serment lors de sa seconde investiture en tant que président des États-Unis, Donald Trump ne manquera pas d’invités représentant la droite populiste au pouvoir en Europe et aux Amériques. Pour la presse internationale, gauche et droite confondues, sa réélection marque en effet une rupture historique avec la politique d’après-guerre, non seulement aux États-Unis, mais dans le monde : une contre-révolution conservatrice serait en marche, qui balaie des décennies de conquêtes progressistes. Sommaire. Partout, la démocratie illibérale triomphe.

Les patrons font allégeance à Donald Trump. Et pas seulement par opportunisme, selon ce quotidien économique. Ce revirement culturel avait commencé avant la victoire du républicain, lorsqu’ils ont remisé leur engagement pour la diversité et le climat.

Plus de deux tiers des Américains sont en faveur du droit à l'avortement. Pourtant sa restriction est une des batailles annoncées du second mandat de Donald Trump. Et les opposant à l'IVG ne cessent d'engranger des victoires, à coups de millions de dollars, pas toujours très propres.

Le duo de milliardaires ouvre une nouvelle ère dangereuse des relations internationales, dans laquelle la Maison-Blanche assume une volonté hégémonique décomplexée. Avec le soutien d'une oligarchie hétéroclite. Sommaire. Trump - Musk. Le nouvel impérialisme. La coalition des contraires. Les 7 familles de l'oligarchie trumpiste.

Son enfance, l'autisme, Musk, l'IA... Le créateur de Microsoft publie "Code source" et se confie au "Point".

Le milliardaire, qui a fait fortune dans les coffrets cadeaux, incarne le nouveau visage de la droite ultralibérale et réactionnaire. A l'image d'un Vincent Bolloré, il prévoit d'investir une partie de sa richesse dans la promotion de ses idées. Objectif : faire triompher l'extrême droite à la présidentielle de 2027. En conclusion de l'article, un focus sur les relations de l'homme d'affaires et du groupe de presse Bayard intitulé "Bras de fer à Bayerd".

Les annonces de Mark Zuckerberg, patron de Facebook, Instagram et WhatsApp, marque un tournant chez les géants de la tech. Qui risque de ne pas épargner l'Europe. Détails. Pas de chiffres.

Le mandat de Donald Trump n’a pas encore commencé que, déjà, le futur Président des Etats-Unis et son équipe produisent des secousses majeures. L’un des personnages de la nouvelle administration, qui entrera en fonction ce 20 janvier, ne cesse de multiplier les provocations : Elon Musk, le milliardaire à la tête de nombre d’entreprises – Tesla, SpaceX, X (ex-Twitter), NeuraLink, SolarCity, etc. – qui va codiriger la nouvelle Agence de l’efficacité gouvernementale ("Department of Government Efficiency", DOGE).

Les sphères politique et économique devraient s’entendre pour faire grossir le gâteau plutôt que s’en partager les (faibles) rentes. Détails. Pas de chiffres.

RTL, Europe 1, M6, "Le Journal du dimanche", "Paris Match"... Quelques-uns des plus prestigieux médias français s’apprêtent à changer de mains. Dans cette recomposition d’une ampleur inédite, trois grands patrons sont à la manoeuvre, sous le regard scrutateur de l’Elysée. Emmanuel Macron a toujours suivi de très près ce que les journalistes disaient ou écrivaient de lui. Mais, à un an du scrutin présidentiel, l’enjeu est plus déterminant que jamais. Avec, d’un côté, l’insatiable Vincent Bolloré, à la tête de Canal+ et de la très droitière CNews.