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Au cinéma

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S'installer confortablement, être happé par l'intrigue puis... avoir "le déclic". Face à l'écran, certains spectateurs font la rencontre décisive d'une oeuvre qui révolutionnera leur rapport au désir. Que ce soit en dévoilant l'évidence d'une orientation sexuelle jusque-là insoupçonnée, ou en poussant ceux qui cultivaient leurs amours dans le secret à sortir du placard - enfin !
Numéros de page :
pp.36-41

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Fan de kaijū un jour, fan de kaijū toujours… Au Japon, depuis la naissance de Godzilla en 1954, la fascination pour ces monstres légendaires n’a jamais faibli. Caroline Gardin est partie à la rencontre des fans de la première heure.
Numéros de page :
8 p. / p. 52-59 : ill. en coul.

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En 1973 sortait sur les écrans "The Wicker Man", film de Robin Hardy sur un petit village écossais aux coutumes étranges. Cinquante ans plus tard, cette pépite du « folk horror» est devenue culte, alors qu'un regain d'intérêt pour le folklore et les traditions païennes réchauffe les îles angleo-celtes.
Numéros de page :
pp.38-43

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En 1927, après une faillite, un tournage homérique et les plus folles inventions techniques de son époque, Abel Gance accouche de "Napoléon". Un beau bébé de 9 h 30 qui marque à tout jamais l'histoire du cinéma. Mais l'enfant prodige se transforme rapidement en monstre. Acteur principal en plein transfert, équipe en burn out, producteurs ruinés, restaurateurs obsédés... Aucun de ceux qui ont approché le film n'en est sorti indemne. Trente plus tard, le réalisateur retourne à son sujet fétiche en réalisant son avant-dernier long-métrage : "Austerlitz".
Numéros de page :
pp.70-80

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Général en chef du cinéma épique des années 1960, le producteur italien Dino De Laurentiis se décide à mettre en branle une machine de guerre pour raconter l'ultime bataille du Premier Empire, avec l'URSS comme allié de poids. "Waterloo" ne sera pas le triomphe escompté à sa sortie en 1970, mais nourrira tout de même sa propre légende, noire et dorée. Récit d'un projet démentiel en compagnie de son dernier carré.
Numéros de page :
pp.84-87

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Quel plus beau sacre pour un acteur que d'incarner un empereur ? En 2003, Philippe Torreton rejoint Marion Brando, Albert Dieudonné ou encore Pierre Mondy au sein du prestigieux club de ceux qui ont été Napoléon le temps d'un film. Dans "Monsieur N." d'Antoine de Caunes, il revêt le costume d'un empereur déchu, condamné à l'exil. Vingt ans après, il s'en souvient comme si c'était hier.
Numéros de page :
pp.90-92

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Avec "Le Jeune Ahmed", les frères Dardenne s'attaquent à un sujet brûlant : la radicalisation islamiste. Rencontre avec deux cinéastes qui interrogent la possibilité du pardon.
Numéros de page :
pp.56-59

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Le nombre sans précédent de metteurs en scène originaires d'Afrique du Nord à Cannes confirme la naissance d'une nouvelle génération de talents dans la région.
Numéros de page :
pp.88-89

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La projection d'"Once Upon a Time... in Hollywood" a été l'évènement du dernier Festival de Cannes et sera sans aucun doute celui de la rentrée. Interview fleuve à Los Angeles avec Quentin Tarantino autour de son film le plus tendre. Retour aussi sur l'ensemble de sa carrière.
Numéros de page :
pp.62-71

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Entre profane et sacré, bien et mal, gravité et loufoquerie, Bruno Dumont recherche dans "Jeanne" le mystère des êtres et l'âpre beauté du monde. Rencontre avec le cinéaste et une partie de son équipe.
Numéros de page :
pp.72-76

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Avec "Roubaix, une lumière", Arnaud Desplechin s'empare d'un fait divers sordide pour réaliser un grand thriller social. Entretien fleuve avec un cinéaste pour qui la tâche du cinéma est d'aller à la rencontre du visage de l'Autre.
Numéros de page :
pp.78-85

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Pendant dix années avant sa disparition, le réalisateur italien a clamé partout son rêve de filmer le siège de la ville soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale. Un projet fou, mégalo, d'au moins trois heures, mais qui restera... un fantasme.
Numéros de page :
pp.66-68