Une nuit de noces qui tourne au cauchemar au début des sixties : l'auteur le plus secret des lettres britanniques s'aventure une nouvelle fois dans les ténèbres de l'âme et instruit le procès d'une époque vouée aux tabous.

Quand l'Angleterre se penche sur ses moeurs et les arcanes du plaisir, c'est jouissif, décadent, truffé d'humour.

Autour d'une nuit de noces désastreuse, Ian McEwan signe un roman magnifique sur les échecs de l'existence

Un imposteur déguisé en icône écolo. Le Britannique lan McEwan manie satire et drôlerie pour dénoncer les prétendus sauveurs de la planète.

Ian McEwan réduit la vie à une journée et les êtres à leur cervelle, dans un roman virtuose à l'optimisme encore plus flippant que son pessimisme habituel.

C'est à Chesil Beach, sur la côte sud de l'Angleterre, que l'écrivain britannique Ian McEwan situe son nouveau roman. L'occasion d'aller arpenter cette impressionnante plage.

Il a tout pour plaire. Une maison en France, des livres vendus par millions et le sens de la cruauté.

Débat sur la fin de vie, religion, justice et démocratie : dans son nouveau roman, le treizième, Ian McEwan, un des plus grands écrivains britanniques vivants, s'attaque à des questions éthiques brûlantes d'actualité.

Un homme, une femme et un robot dans "Machines like me" d'Ian McEwan. Critique de roman

"Je ne vois pas comment un écrivain ne se passionnerait pas pour l'aventure scientifique", affirme l'auteur. Il fait ainsi du héros de son nouveau roman un chirurgien.

Londres. Un samedi de février comme les autres, ou presque. De cette subtile exception à la règle, Ian McEwan fait, dans son dernier roman, "Samedi", un hiatus vertigineux qui ouvre à tous les possibles. De cette claudication imperceptible dans la marche des jours qui, de tous temps, a paradoxalement permis à la fiction de cheminer et de rencontrer l'imprévu, l'auteur du "Jardin de ciment" et de "Expiation" fait le principe même d'un examen sans concession du présent.