A chaque édition des Jeux olympiques, les records se font plus rares. Pis : des études montrent que l'être humain est en train de frôler les limites de ses performances sportives, si bien que nombre de disciplines athlétiques pourraient voir leurs records stagner un bon nombre d'années... voire pour toujours.

Il y a une vingtaine d’années, la créatine défrayait la chronique. Les uns considéraient qu’elle était utile au renforcement musculaire. Les autres la considéraient comme un produit dopant. Et aujourd’hui, qu’est-ce qu’on en dit ?

Il y a quelques mois, un lecteur nous a écrit pour signifier son embarras. Son cardiologue lui avait prescrit un traitement à base de statines alors qu’au même moment, il avait découvert dans "Sport et Vie" une présentation très critique de cette classe de médicaments. A qui se fier ?

Guy Thibault est docteur en physiologie de l’exercice et professeur associé à l’Ecole de kinésiologie et des sciences de l’activité physique de l’Université de Montréal. Entre 2017 et 2022, il a aussi dirigé le laboratoire des sciences du sport au sein de l’Institut national du sport du Québec. Il compte parmi les meilleurs spécialistes mondiaux dans la programmation de l’entraînement. A l’attention des lecteurs de Sport et Vie, il a préparé un dossier en trois parties consacré à l’entraînement «intermittent», appelé aussi « interval training » en anglais.

Maladie asthmatique et bronchoconstriction induite par l'exercice isolée sont des pathologies fréquentes chez les sportifs et les athlètes de haut niveau. Les grandes lignes du traitement de ces deux entités se rejoignent et sont régies par les mêmes réglementations internationales antidopage.

Dans la seconde partie de notre dossier consacré à la caféine, on tente de répondre à la question-clé de son utilisation dans le sport : pourquoi une telle mansuétude à son encontre de la part des autorités chargées de la lutte contre le dopage ?

On parle beaucoup de chance ou de malchance dans le sport. Mais existe-t-elle vraiment? Cette question divise les spécialistes entre d’un côté, ceux qui pensent que nous sommes effectivement les jouets d’événements aléatoires et, de l’autre, ceux qui sont persuadés, comme le veut l’adage, que la chance sourit aux audacieux.

La pandémie de covid-19 a permis à chacun de faire énormément progresser ses connaissances en médecine. Elle aura au moins eu ce mérite. Par exemple, grâce à elle, on peut également mieux comprendre les mécanismes à l’oeuvre dans un programme de musculation.