Pour cette rentrée 2021, "Causette" l'affiche à la Une. Avec "Seule en sa demeure", son huitième roman, l'autrice nous confirme, du haut de ses 31 ans, qu'elle est l'une de nos plus belles plumes.

Jugée sulfureuse puis conservatrice, celle qui se définissait elle même comme un « homme de lettres » à ses débuts a ouvert bien des portes, qui étaient jusque-là fermées aux femmes.

L’écrivaine britannique tint son journal jusqu’à sa mort, en 1941. Il fut tout à la fois la clé de voûte de sa vie, un outil d’introspection, un entrepôt de matériau littéraire et un laboratoire d’écriture. Cet article fait référence à l'ouvrage "Journal intégral (1915-1941), de Virginia Woolf" (traduit de l’anglais par Colette-Marie Huet et Marie-Ange Dutartre).

Marguerite Yourcenar n'est pas véritablement belge et il n'est guère de mise de la considérer comme délaissée puisqu'elle est entrée dans l'histoire comme la première femme à être élue à l'Académie française, en 1980. Si sa nationalité est française, et même franco-américaine après son exil littéraire dans le Maine aux États-Unis, ses racines sont pour une large part belges par sa mère, Fernande de Cartier de Marchienne, qui la met au monde le 8 juin 1903 dans une maison de l'avenue Louise à Bruxelles.

Naguère punk des lettres, aujourd'hui autrice respectée, Virginie Despentes a suivi une trajectoire ascendante sans abdiquer sa radicalité. De "Baise-moi" à "Cher connard", parcours d'un électron libre de la littérature et du cinéma, toujours indocile. Sommaire. Virginie Despentes, itinéraire d'une révoltée permanente. Des obsessions et un style. « Cher connard », en toutes lettres.