Après l'hôtellerie, le transport et l'automobile, pionniers des stratégies low cost, d'autres secteurs comme la téléphonie, le transport ferroviaire ou la bijouterie de luxe adoptent à leur tour ce type de modèle économique. Le low cost qui, dans l'esprit de beaucoup, reste associé à l'idée d'un produit vendu à bas prix constitue en réalité pour une entreprise une véritable stratégie d'activité.

Alors qu'Apple vient de lancer son premier iPhone à petit prix, des entreprises chinoises et africaines s'imposent sur le marché du smartphone accessible. Enjeu : conquérir, entre autre, les consommateurs des pays émergents.

Au moins 2 000 patients ont été victimes des centres dentaires à bas prix Dentexia. Ils ont payé pour des soins qui n'ont jamais été réalisés. Retour sur un scandale sanitaire et financier.

Avec la Renault Kwid, présentée courant 2018, le constructeur automobile français vise clairement le marché indien : la voiture est conforme à toutes les exigences réglementaires du pays et est vendu à un prix abordable, 3500 euros, pour la population.

N'importe qui peut éditer de faux bons de réduction et obtenir des rabais sur son champagne. Certains commerçants gardent les bons pour eux. Les fabricants réagissent.

Fruits, tee-shirts, fournitures de bureau, conseils en ressources humaines, tout y passe, les multinationales ont trouvé un nouveau moyen de molester leurs fournisseurs : les enchères inversées.

Crise du pouvoir d'achat, hausse des prix, flambée du baril de pétrole... De plus en plus de Français sont contraints de consommer différemment. Pour voyager, se loger, se meubler ou se nourrir. La vie low-cost n'est plus seulement une mode, mais un nouveau modèle économique.

Chômage, flambée des prix, menace de récession... Inquiets, les Américains chassent frénétiquement les bons de réduction des grandes surfaces. Comme durant la Grande Dépression.