Kathya de Brinon propose une écoute à tous les angoissés de la "distanciation sociale". Victimes de violence, prostituées, étudiants, soignants... La liste est longue de ceux qui appellent, et leurs histoires ahurissantes.

Confinement oblige, les recettes n'ont jamais paru aussi précieuses. A l'heure des vidéos culinaires d'une minute diffusées sur les réseaux sociaux, le vieux texte couché sur papier à l'encre violette n'a pourtant pas dit son dernier mot.

Il est bien plus simple de confiner que de déconfiner : le gouvernement qui en a bien conscience, se retrouve face à un casse-tête effroyable. La méthode verticale et autoritaire ne suffira pas : comment "embarquer" l'opinion alors que la crise économique frappe déjà et que les plaintes en justice se multiplient à rencontre du pouvoir ? Sommaire. Opération déconfinement. "Le déconfinement doit être décentralisé (Thomas Philippon). Un hussard sur le front. Gouvernement : une pluie de plaintes.

Alors que les juifs ont célébré Pessah, les chrétiens, Pâques, et que les musulmans viennent de rentrer dans le mois de ramadan, les plus fanatiques des croyants rechignent à respecter les mesures de confinement.

Les animaux s'en sont donné à coeur joie pendant plusieurs semaines. Ils ont investi les centres urbains désertés, nous invitant à imaginer une cohabitation plus respectueuse avec la nature.

En montrant et en parlant de l'habit qu'ils ont porté pendant le confinement, les followers de notre Observatrice nous offrent une leçon de bonheur et d'humilité.

Le confinement a balayé les habitudes des pros de la blague, forcés de puiser dans des sources d'inspiration inédites. Et de trouver de nouvelles têtes de Turc.

Véritable pop star de la philosophie, le Slovène Slavoj Zizek publie "Dans la tempête virale". Un texte vif, écrit durant l'épidémie de Covid, qui décrit une humanité à la croisée des chemins. Entretien exclusif.

Stress, déprime, angoisse, cafard... L'annonce du reconfinement - que l'Elysée pensait éviter jusqu'au dernier moment - et la succession d'atroces attentats terroristes met la France sous tension. Le substrat comme de ces deux épreuves, c'est la peur, analyse le psychiatre Serge Hefez. Peur de la solitude, de la faillite, du chômage, de la pauvreté, de l'inconnu, de l'autre...

Confinés, contraints au télétravail, limités dans leurs déplacements... les Français ne quittent plus leurs joggings, pyjamas et autres tenues confortables. Décryptage d'une tendance qui bouscule les codes sociaux et pourrait sauver l'industrie de la mode.

Avec la pandémie, nos relations aux autres ont été bouleversées. Confinés, limités dans nos déplacements, nous avons réduit notre cercle, jusqu'à mettre en péril notre propre sociabilité.

Lassitude du confinement, stress des personnels au contact du public, colère due à la pénurie de masques, débat sur la chloroquine, volonté de contribuer à l'effort national... Les 30 Français interrogés par l'Ifop, avec "Le Point" et la Fondation Jean-Jaurès, montrent des signes d'impatience.