Après l'annonce d'un plan de relance de 787 milliards de dollars, le 17 février 2009, le président américain présentait, le lendemain, un plan d'au moins 75 milliards pour sauver le logement. Toutefois, selon le New York Times, ses débuts laissent sceptiques

Barack Obama fait du règlement du conflit israélo-palestinien une priorité. Pour lui, la solution à deux Etats passe par la fin de la colonisation israélienne. Ce qui s'oppose aux positions et déclarations de Benyamin Nétanyahou. Le clash paraît inévitable.

C'est sur l'emploi, le pouvoir d'achat, le logement, la santé, que les Américains l'ont élu

Le jeune écrivain américain d'origine éthiopienne parle de la diaspora africaine aux Etats-Unis, des Afro-Américains et de la double identité de Barack Obama

Les ultraconservateurs sont partis en guerre contre le président. Ils l'accusent d'être socialiste, de ne pas être né sur le sol américain, de haïr les Blancs et, depuis son prix Nobel, d'être l'idole d'une Europe honnie.

Barack Obama pensait avoir réussi à tourner la page sombre de l'Irak. L'avancée éclair des djihadistes de l'Etat islamique le force à y revenir. A reculons.

A Washington, le Département d'Etat a soutenu les insurgés ukrainiens, au point de forcer la main d'Obama. Priorité, désormais, pour le président : relancer le dialogue avec Moscou.

Alors que les milices prorusses continuent de défier Kiev et menacent la présidentielle du 25 mai, comment riposter face à Poutine ? La Maison-Blanche envisage une série de sanctions contre Moscou, malgré des réticences en Europe. Pour "le gendarme du monde", c'est une question de crédibilité.