Inconnue du grand public mais respectée dans son parti, la candidate des Ecologistes aux européennes, qui milite pour "la douceur en politique", éprouve toutes les peines du monde à imprimer dans le débat. Par - Photo Stéphane Dubromel

Malgré les efforts de l'Union européenne pour surmonter la crise du Covid ou venir en aide à l'Ukraine, les partis nationalistes progressent. Particulièrement en France, où la macronie risque d'essuyer une humiliante défaite au bénéfice du RN. Emmanuel Macron, engagé dans la campagne, peut-il changer la donne ? Quelles seront les conséquences du scrutin du 9 juin 2024 ? Bilan et analyses. Sommaire. Des élections sous tensions. Parlement. La menace nationale-populiste. Ursula von der Leyen, comme l'ombre d'un doute. Le pacte vert en zone de turbulences.

Les élections européennes sonneront-elles le glas de la Nupes ? Si insoumis et socialistes font encore mine de croire en une liste commune, écologistes et communistes écartent fermement cette hypothèse. Alors que les divergences sur l’Union européenne n’ont rien de rédhibitoire, la gauche renonce à faire front face au bloc libéral et à l’extrême droite. Sommaire. Européennes : la Nupes sous tension. Quand la Nupes s’accordait sur l’Europe. La jeunesse veut réveiller la Nupes.

Les secrets de la liste qui défend la ruralité... et fait trembler l'échiquier politique.

Toutes les listes du camp progressiste rêvent de créer des dynamiques de rassemblement grâce à quelques prises de guerre.

Pour contrer le Rassemblement national, en avance dans les sondages, Emmanuel Macron cherche à “théâtraliser” le scrutin européen de juin, politique étrangère à l’appui.

Cheffe de file de La France insoumise (LFI) pour les élections européennes de juin 2024, l'eurodéputée Manon Aubry souhaite placer la campagne à venir sous le signe du protectionnisme économique et de l'opposition à un élargissement de l'Union européenne favorisant le dumping social.

En mai 2019, les Européens, appelés à voter pour désigner leurs représentants nationaux au sein du Parlement européen, se sont nettement plus mobilisés que lors des précédents scrutins : le taux de participation a augmenté de huit points par rapport à 2014, frôlant les 51 %. Il est difficile de dire précisément ce qui a motivé cette participation, mais comme le montre ici Jean-François Drevet, on peut légitimement penser que les citoyens européens commencent à prendre conscience de l'espace de liberté que constitue l'Union européenne, et s'attachent à s'y investir un peu plus.

Le député européen écologiste, ex-patron d'Europe Ecologie-les Verts, explique, en exclusivité, pourquoi il sera candidat sur la liste de La République en Marche aux européennes.

Ce numéro de mai-juin de Futuribles sort quelques semaines avant les élections européennes qui conduiront au renouvellement du Parlement de l'Union et à l'arrivée de nouveaux représentants des citoyens européens censés siéger jusqu'en 2024. Ces élections se préparent dans un contexte particulier : tergiversations autour des modalités du Brexit, montée des populismes, pressions migratoires, contexte international tendu... Et comme les précédentes, elles risquent de servir de prétexte au règlement de querelles nationales plutôt qu'à la discussion des enjeux politiques communs aux Européens.

La quasi-totalité des pays du continent subissent une offensive nationale-populiste inédite depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ces mouvements radicaux, qui grignotent les démocraties de l'intérieur, sont bien partis pour imposer leur agenda au Parlement et au Conseil européens. Sommaire. Extrême-droite en Europe. La menace intérieure. Pologne, difficile retour à l'état de droit. Italie, l'emprise culturelle de Meloni.

La majorité aborde les derniers jours de campagne avec fébrilité et s'interroge sur les conséquences d'une éventuelle déroute lors du scrutin du 9 juin 2024.