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Estampe en noir et blanc
Editeur :
Année de parution :
2021
1 est. : noir et blanc : 15 x 15 cm
Bois avec banc et panneau à l'avant-plan
Note Générale : Raphael MENG WU (1991)
Né et élevé en Chine, Raphael Meng Wu vit à Liège.
Après un master en peinture aux Beaux-Arts de Liège, il a suivi un master en gravure dans le même établissement, avec Maria Pace.
N’ayant pas encore terminé son cursus scolaire, le jeune artiste a déjà décroché le Prix de la Fondation Bolly-Charlier en 2024 et a exposé à plusieurs endroits de Liège (notamment l’Espace jeunes artistes du musée de la Boverie).
Il est aujourd’hui assistant au sein de l’atelier de gravure des Beaux-Arts, et vient de créer en compagnie de Maria Pace et de Mia Nacher un atelier de gravure rue de Campine, à deux pas des Beaux-Arts.
Le Bois
Raphael Meng Wu a un sens du vide et des espaces qu’il semble emprunter à plusieurs cultures.
« La peinture chinoise m’a toujours envoûté, me transportant dans un monde où la simplicité règne et où le vide murmure des secrets. Le « dessin du blanc », cette technique ancestrale laissant place à l’essence même de l’œuvre, a profondément marqué mon cheminement artistique. » (RMW, in La nouvelle poupée d’encre)
Né et élevé en Chine, Raphael Meng Wu vit à Liège.
Après un master en peinture aux Beaux-Arts de Liège, il a suivi un master en gravure dans le même établissement, avec Maria Pace.
N’ayant pas encore terminé son cursus scolaire, le jeune artiste a déjà décroché le Prix de la Fondation Bolly-Charlier en 2024 et a exposé à plusieurs endroits de Liège (notamment l’Espace jeunes artistes du musée de la Boverie).
Il est aujourd’hui assistant au sein de l’atelier de gravure des Beaux-Arts, et vient de créer en compagnie de Maria Pace et de Mia Nacher un atelier de gravure rue de Campine, à deux pas des Beaux-Arts.
Le Bois
Raphael Meng Wu a un sens du vide et des espaces qu’il semble emprunter à plusieurs cultures.
« La peinture chinoise m’a toujours envoûté, me transportant dans un monde où la simplicité règne et où le vide murmure des secrets. Le « dessin du blanc », cette technique ancestrale laissant place à l’essence même de l’œuvre, a profondément marqué mon cheminement artistique. » (RMW, in La nouvelle poupée d’encre)