Le nom de domaine levif.be a été enregistré le 7 mars 1996. Du site vitrine, dédié à la présentation du magazine, jusqu'à l'éclatement du scandale Publifin, retour sur plus de 20 ans d'histoire du Vif en ligne.

Il y a 50 ans, seulement 20% des patients survivaient au cancer ; actuellement, ce chiffre est en moyenne de 50 à 60%, en constante progression. Une enquête nous apprend qu’il n’est pas toujours évident de reprendre le cours de sa vie.

Présentation du nouveau concept venu des Etats-Unis et émergent en France dans le secteur de la publicité digitale : la vente aux enchères de publicité ou real time bidding (RTB). Nées d'éditeurs qui cherchaient au départ le moyen d'écouler leurs espaces publicitaires invendus, ces plates-formes d'enchères en temps réel séduisent de plus en plus agences et annonceurs. Elles pourraient alors donner un second souffle au marché de la publicité digitale sur lequel les investissements ralentissent. Toutefois, la technologie est encore jeune et le marché a besoin de se structurer.

Enfin, la France regarde en face sa compétitivité perdue. Ce mot barbare, venu du monde global, fait soudain partie depuis quelques semaines de notre lot quotidien. Merci M. Gallois. Face à ce décrochage avéré de l'industrie, le gouvernement a choisi d'agir en urgence sur les marges des entreprises en créant une niche fiscale géante à 20 milliards d'euros. L'Etat redonne d'une main, sous conditions, ce qui a été prélevé de l'autre sans condition. Tout bol d'oxygène est bon à prendre, mais c'est tout un écosystème qui est à rebâtir. Il faut reconfigurer le pacte social de 1946.

Le point sur la dépendance en France qui, dans un contexte de vieillissement constant de la population, fait apparaître des problématiques en termes de financement de la part de l'Etat et des ménages mais représente également un marché prometteur pour les acteurs privés. Au niveau étatique, la prise en charge repose sur un système de solidarité national, avec par exemple 20 milliards d'euros consacrés à la dépendance par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA), mais la majeure partie des dépenses reste encore à la charge des familles.

Lumière, fin 2012, dans un contexte où 20% des tués dans les accidents de la route sont des jeunes de 18-24 ans alors qu'ils représentent seulement 9% de la population, sur la nécessité de mettre en place des politiques de proximité en matière de sécurité routière. Les dispositifs initiés par les pouvoirs publics qui se sont succédés depuis une quarantaine dannées ont bien sûr fait évoluer la sécurité sur les routes, mais restent toujours corrélés à la mesure de la vitesse des véhicules, qui nest pas la première cause daccidents.

Décryptage des clés de la réussite d'un programme de communication sur les réseaux sociaux, des outils du web 2.0 qui ne cessent de se multiplier. Alors que la communication des entreprises sur ces plateformes dépend beaucoup des budgets qu'elles peuvent y consacrer, certaines choisissent de se faire accompagner pour élaborer des stratégies digitales, dont elles attendent des retombées en termes de notoriété et d'image. Autre enjeu : des relations plus étroites avec leurs clients, et donc une consolidation du chiffre d'affaires.

Fin prochaine de l'âge d'or des retraites en France du fait d'un besoin de financement de 1% du PIB (soit 20 milliards d'euros) à l'horizon 2020 et jusqu'à près de 2,5% dans la pire des hypothèses à l'horizon 2040. Alors que le système de retraite français, reposant sur la répartition, était l'un des plus généreux au monde, la récession et le besoin de financement nécessitent d'intervenir pour enrayer la réforme.

Eclairage, en janvier 2012, sur le dynamisme de la création d'entreprises, en France, dans le secteur des technologies de l'information et de la communication - TIC - et les filières connexes (informatique, web, commerce électronique, logiciel, etc.), et les clés de la réussite.

Décryptage, début 2012, du recul, en France, du capital risque et des sources de financement alternatif qui s'organisent en réponse à la désaffection du private equity. Le capital-risque, né en retard en Europe et en France par rapport aux Etats-Unis a considérablement changé de dimension au cours des 20 dernières années, représentant une cinquantaine de sociétés actives en France. Si leurs investissements ont progressé de 12% au premier semestre 2011, les levées de fonds quant a elles ont plongé de presque 70%.

Analyse, en janvier 2012, du nouveau dynamisme économique de l'Afrique noire, qui s'étend du Ghana à l'ouest au Mozambique au sud. La Banque mondiale annonce même que la région pourrait connaître un décollage économique comme la Chine il y a 30 ans ou l'Inde il y a 20 ans. Pourtant la vision européenne, encore focalisée sur les BRIC (Brésil - Russie - Inde - Chine - Afrique du Sud) reste encore frileuse face à l'instabilité politique ou la démographie incontrôlée. Des facteurs qui l'emportent encore malgré des opportunités économiques intéressantes et des perspectives de croissance certaines.

Bonne résistance à la crise économique de la Pologne, qui a bénéficié de fonds importants de l'Union européenne pour financer ses grands projets de développement. Elle engrange aujourd'hui les bénéfices d'une décennie de réformes, d'un système bancaire sain et d'une politique d'endettement stricte, en affichant une activité économique saine. Elle figure même parmi les bourses les plus dynamiques du monde.

Recours croissant des entreprises à l'externalisation des achats hors produits (qui représentent entre 10 et 20% des dépenses globales des sociétés), afin de réduire leurs coûts, mais également leurs dépenses indirectes et de gagner en expertise. Mais si l'externalisation représente une solution avantageuse, qui permet aux acheteurs internes de se concentrer sur leur coeur de métier et de créer de la valeur ajoutée, elle requiert une lourde charge de travail et de paperasserie.

Décryptage des caractéristiques du modèle économique de l'enseigne française de distribution de centre-ville Monoprix (CA de 4,2 milliards d'euros en 2011, 20 000 salariés, 450 points de vente), qui diffère des business model des grandes surfaces traditionnelles. La proximité, la connivence, les petites attentions portées aux clients... Monoprix mise sur un positionnement résolument qualitatif, justifié par une offre large et en perpétuel renouvellement. Sa stratégie de communication s'emploie à injecter du beau, jusque dans l'utilitaire. Son mot d'ordre : ″la valorisation du quotidien″.