Trop longtemps ignoré en France, cet artiste possède pourtant une large palette de sujets : portraits, paysages, peintures d’histoire...

Photographe de rue avant l’heure, ce peintre de genre surdoué croque avec humour la vie parisienne, y magnifiant chaque détail.

L’artiste s’impose à la fin du Siècle des lumières comme le maître des ombres et des terreurs d’une âme humaine tourmentée.

Ses personnages, figés dans des décors à l’urbanisation galopante, traduisent le désarroi de l’artiste face à la transformation de l’Amérique. En complément, l'analyse de l'oeuvre d'Edward Hopper "Gas", peinte en 1940.

Célébré dans une exposition monumentale, Edward Burne-Jones, sublimant le merveilleux biblique et médiéval, donne ses lettres de noblesse au préraphaélisme.

La peinture du XIXe siècle, influencée à la fois par le colonialisme et la lutte pour l’égalité, offre une regard singulier sur l’homme de couleur. En complément, l'analyse du tableau de Girodet intitulé "Jean-Baptiste Belley, députe de Saint-Domingue à la Convention", peint en 1798.

La tête dans le ciel, les pieds à la forge, le sculpteur de 81 ans regarde les nuées comme une infinie source d'inspiration. Il y puise son énergie créatrice. Rencontre avec ce maître du cosmos avant l'ouverture de plusieurs expositions retraçant sa longue carrière.

D’un réalisme puissant, cette peinture évoquant les campagnes américaines de la Grande Dépression en 1930 a dépassé les frontières des États-Unis, et sa notoriété a sans doute éclipsé celle de son auteur.

Au crépuscule de sa vie, l’artiste devient particulièrement prolifique et intense. Suivons-le pas à pas sur les chemins d’Auvers-sur-Oise.