L'art moderne et contemporain indien fait des étincelles depuis deux ans. A l'ardeur des collectionneurs de la diaspora indienne, succède celle des Occidentaux en mal d'exotisme.

Symbolisée dans les années 1960-1970 par une mise en forme de l'esprit de révolte, de la minijupe au mouvement punk, Londres définit à nouveau une certaine avant-garde. Non seulement elle a mis l'art contemporain à la mode, mais cet art qui semblait réservé à l'élite est désormais présenté sans frémir comme un agent de changement social.

Aujourd'hui collectionnés à prix d'or, les objets fabriqués par Fabergé associent l'originalité, la préciosité des matériaux, une technique parfaite et l'appartenance à la haute société.

Expert de l'impressionnisme et de l'art moderne, il prédit de la casse sur les marchés et un réaménagement spectaculaire de la cote des artistes

Malgré les préjugés actuels, les arts islamiques occupent une place croissante dans les musées. Le marché, quant à lui, ne plébiscite que les pièces exceptionnelles.

Si elle se fait discrète, l'estampe, au premier rang de laquelle la gravure, séduit toujours les artistes qui peuvent compter sur un réseau solide de diffusion. Le point sur un enjeu contemporain.

Pas de ventes publiques les 14 et 15 janvier : Drouot se mue en professeur ès art contemporain.

Record d'affluence et frénésie d'achat à Art Basel, le supermarché de l'art moderne et contemporain.

Plus de 6 millions d'euros, c'est le patrimoine qu'a déclaré Laurent Fabius. Un montant qui fait de lui le plus riche des ministres du gouvernement Ayrault. Et alimente, depuis trente ans, les critiques sur son engagement à gauche. Mais cette fortune, amassée par quatre générations de marchands d'art, est d'abord le fruit d'une saga familiale singulière. Tantôt servie, tantôt entravée par les soubresauts de l'histoire de France.

Le marché de l'art occidental va-t-il flamber comme à ses plus belles heures en s'exportant en Extrême-Orient, là où, autour du Japon et de la Chine, est un train de se créer un pôle économique puissant ?...

Pierre-Alain Challier a su monter une galerie en quelques années appréciée dans le paysage de l'art contemporain, ne montrant que ce qu'il aime, parfois de grands artistes dans le creux de la vague, à rebours de la tendance de certaines galeries où seules comptent les valeurs sûres. Retour sur un itinéraire singulier.

Une des plus prestigieuses galeries d'art parisiennes fête ses cinquante ans : la galerie Taménaga. Retour sur une histoire exceptionnelle.

Appréciés très tôt en Allemagne, les Nouveaux Réalistes jouissent d'une reconnaissance tardive en France. En dépit d'une hausse récente, leurs prix n'atteignent pas ceux des "stars" du Pop Art.

Bien qu'on en ait régulièrement programmé la mort, au profit d'autres médias tels que la photographie ou les installations, la peinture revient à la charge sur le marché de l'art.

Une présence à la Biennale de Venise favorise le marché de certains artistes. Ceux qui réussissent leur prestation à la cité des Doges voient leurs oeuvres prises d'assaut, dans la foulée, à Bâle.

Souvent méprisées par le monde de l'art officiel, les toiles de Bombois, Bauchant ou Vivin possèdent le charme d'une vision calme et colorée de la vie.

Prodigue en archétype du "bel objet" africain, dont le classicisme rassure, l'art des sculteurs Baoulé s'est exprimé dans un cadre d'une relative liberté formelle.

De nombreux artistes ont puisé à l'étranger de nouvelles sources d'inspiration. Souvent démantelés, leurs carnets de voyage sont rares sur le marché. Mieux vaut rechercher des feuillets isolés.