Les ventes moins volumineuses, mais présentant des oeuvres inédites sur le marché, mieux estimées et avec moins de garanties ont réussi à attirer les acheteurs.

Emmenées par Sotheby's, les ventes parisiennes se sont maintenues comportant de nombreuses oeuvres de Dubuffet ou d'artistes d'origine asiatique.

Pour réveiller un catalogue qui manque de lots phares, pour pimenter une vente un peu morne, les opérateurs de ventes volontaires ont trouvé une solution : la « guest-star ».

Plombées par la réduction des prix garantis, les grandes ventes internationales accusent un trou d'air.

Les alliances entre maisons de ventes pour la dispersion d'une collection se multiplient. Ces noces éphémères voient les petites comme les grandes sociétés y trouver leur intérêt.

La Fiac n'est pas la seule à se recentrer, ses satellites sont moins nombreux cette année 2016, témoignant de la difficulté des galeries à trouver un positionnement et un modèle viable.

Une toile du peintre du noir restée invendue en 2016, chez Phillips, a été adjugée plus de six millions d'euros chez Sotheby's Paris, au sein d'une forte session de ventes d'art contemporain

Parallèlement aux planches, de nombreux auteurs présentent des oeuvres originales dans les galeries. Un phénomène mêlant projets artistiques et arguments économiques.

Christie's et Sotheby's international annoncent de bons résultats pour le premier semestre, particulièrement pour l'art contemporain et les ventes en Asie.

Christie's, Sotheby's et Artcurial ont chacune atteint de bons scores lors de leurs ventes du soir dédiées à l'art contemporain, confirmant la croissance du marché parisien.

L'art contemporain a poursuivi sa progression fulgurante marquée par des résultats de ventes à New York encore plus spectaculaires. Mais le marché se concentre sur un nombre restreint d'artistes.

La multiplication des sites Internet de ventes d'objets d'art de gré à gré témoigne des fortes espérances de ces nouveaux acteurs. Mais le foisonnement des différents types d'offres et la difficulté à collecter des chiffres d'affaires indiquent que ce marché est encore largement immature. Une tendance semble cependant s'affirmer : ce canal émergent cible prioritairement le segment intermédiaire.

L'année 2014 s'annonce exceptionnelle pour New York et Londres. En France, les maisons de ventes sont loin de faire aussi bien.

Le commissaire-priseur parisien Pierre Cornette de Saint Cyr déplace sa maison de ventes dans un hôtel particulier de l'avenue Hoche.

En dépit d'un nombre très élevé de vacations, les ventes de design ont dépassé les estimations basses avec près de 22 millions d'euros enregistrés fin novembre 2015 sur ce secteur.