La National Portrait Gallery à Londres dévoile l'importance des femmes dans le préraphaélisme, courant du XIXe siècle majoritairement masculin. A travers ses modèles, elles-mêmes peintres, se révèlent les prémices de l'émancipation féministe.

Associée au mouvement des Chicago Imagists, l'inclassable Chistrina Ramberg déploie un imaginaire fétichiste et mécanique du corps féminin. Le Frac Lorraine l'expose en dialogue avec d'autres artistes hybridant le corps pour mieux l'émanciper.

Connaissez-vous Imogen Cunningham? Birgit Jürgenssen? Anne Noggle? Sans doute pas, tant le monde de la photographie fut longtemps dominé par les hommes. Deux riches ouvrages rendent enfin justice à ces artistes qui, elles aussi, ont écrit l'histoire d'un médium où s'expriment leur audace et leurs combats.

Ses femmes n'ont pas de visage mais d'impénétrables tignasses qui leur couvrent parfois tout le corps. Que dissimulent ces belles énigmatiques, corsetées dans leur carapace de poil ? Avec ses peintures mystère, Julie Curtiss entretient le suspense et le désir.

Depuis ses débuts, son travail photographique fascine le monde de l'art et perturbe le public. A la veille de sa vaste rétrospective à la fondation Louis Vuitton, rencontre avec la troublemaker new-yorkaise qui ne cesse de se travestir et de se réinventer.Une des artistes les plus importantes de notre époque. L'article est complétée par l'interview de l'artiste Cindy Sherman

Alors que la Fondation Louis Vuitton s'apprête à lui consacrer une rétrospective événement, retour sur la trajectoire d'une transformiste dont l'oeuvre féroce regarde en miroir nos crises identitaires.

En solo ou en groupe, elles sont dix, femmes et artistes, à occuper le terrain des expositions estivales. De Berthe Morisot à Rebecca Horn, elles oscillent entre provocation assumée, introspection douloureuse et simple recherche de l'émotion esthétique.

Et si le plus célèbre sourire du monde n'était pas une periection inaccessible mais une fonne au service de la cause des femmes ?

Et si le plus célèbre sourire du monde n'était pas une periection inaccessible mais une fonne au service de la cause des femmes ?

Présentée à la presse le 4 décembre 2019, la nouvelle a fait grand bruit : une minuscule et délicate statuette en craie de 4 cm de haut a été mise au jour l’été dernier lors de fouilles programmées à Amiens, dans le quartier de Renancourt. Une découverte qualifiée à juste titre d’historique, tant l’oeuvre est rare et représentative des sociétés de chasseurs-cueilleurs qui peuplaient le nord du pays à la fin du Paléolithique supérieur.