Atlas de la capitale française et mise en image de ses aspirations à devenir une métropole durable ainsi qu'un carrefour majeur de l'Europe occidentale.

Les appelations "dogon" ou "tellem" sont souvent confondues pour désigner la production artistique issue de la région de Bandiagara au Mali. L'exposition du Musée du quai Branly en 2011 ne rompt pas avec cette confusion. L'auteure entend revoir les attributions et les styles à partir d'une analyse plastique, ethnologique et historique.

Né en province en 1877, Jean Mollet débarque à Paris sans un sou. Mais, débrouillard et gentil, il séduit tous ceux qu'il approche. Ainsi, après avoir exercé les métiers de directeur de théâtre, organisateur d'expositions, clerc d'avoué, journaliste, verrier et tant d'autres, connaît-il bientôt le Tout-Paris depuis 1900 jusqu'à nos jours. Mille anecdotes nous sont contées où nous retrouvons pêle-mêle les noms suivants : Apollinaire, Derain, Vlaminck, Braque, Mac Orlan, Marie Laurencin, Picasso, Max Jacob, Jarry, Carco, Cocteau, Blaise Cendrars, Léon-Paul Fargue, etc. Entre la France et la Belgique, il subsiste au jour le jour, réunissant ou ratant mille entreprises avec le même sens de la joie. Mais, grâce à son art de vivre qui sait nier le temps, et par conséquent l'éventualité de vieillir, Jean Mollet parvient à établir un délicieux tableau panoramique de la vie littéraire et artistique du XX

A travers les témoignages de plusieurs participants, ce document revient sur les actions menées par le mouvement des indignés au cours de l'année 2011 à Paris.

Une promenade en images dans les rues de Paris, à la rencontre des noctambules. La lumière particulière de la capitale la nuit, les silhouettes floues sculptées par le halos des révérbères donnent une ambiance très particulière à ce recueil de photos à la frontière de la vie quotidienne et d'images comme sorties d'un film.

Les meilleures adresses des personnalités parisiennes (Antoine de Caunes, Erik Orsenna, Claude Lelouch, etc.). Chacune d'elles raconte son histoire de Paris sous forme d'interview puis propose son carnet d'adresses avec ses commentaires personnels (restaurants, boulangeries, galeries d'art, musées méconnus, etc.).

Un pinceau et une plume composent un hymne à la gloire de Paris. Tandis que Y. Simon raconte sa ville au gré de ses souvenirs, les aquarelles de F. Moireau révèlent une grande diversité architecturale et font découvrir les atmosphères d'un quartier, d'une rue et de ses habitants.