Après avoir conté sa mission sur l'île des Lestrygons, celle au Royaume des enfants d'Orqueline, Nelson Lobster livre à son journal un incroyable secret de son enfance. Dernier tome de la série.

Pour fêter les vingt-cinq ans de mariage de Robert et Raymonde Bidochon.

Otto préfère ne pas se poser trop de questions. Il mène une existence tranquille, rythmée par sa passion pour l'aquariophilie et le rituel du thé qu'il partage avec Katrin. Jusqu'à ce qu'il entre par hasard en possession d'une mystérieuse enveloppe qui le lie malgré lui au propriétaire du manoir voisin, l'étrange et charismatique Jorg von Elpen. Histoire d'une rencontre qui tourne mal.

En 1971, sur le tournage du film L'aventure, c'est l'aventure, l'auteure rencontre Jacques Brel. Ils ne se quitteront plus. Ils vivront pendant sept ans un amour chaque jour plus fort, au-delà même des limites du temps.

Le Grand Monopose, dictateur de Monoposie, veut étendre sa domination au monde entier. Son compatriote, le professeur Barzavotzig vient justement de mettre au point une bombe surpuissante intégrant le principe de fission de l'atome.

1912. Un grand hôtel particulier de la banlieue parisienne. Trois tableaux. Un vol. Un mystère. (Une histoire en deux tomes.)

Alex, un lycéen surdoué, est enlevé par un groupe mystérieux. Sa mère adoptive se mue en enquêtrice impitoyable, surmontant les obstacles pour retrouver son fils et découvrir la vérité.

Recueil de poèmes de J. Izoard, auteur de plus de soixante livres de poésie.

Un recueil de sept nouvelles où deux personnages servent de fil conducteur à l'intrigue, le détective Merlec et son souffre-douleur Bitard.

Nelson Lobster, aventurier célèbre rescapé de mille morts, livre le souvenir de son voyage sur l'île des Lestrygons, connue depuis l'Odyssée homérique pour être peuplée de mangeurs d'hommes. Il explique comment il a déjoué les pièges et les mystères de l'île.

La police de l'Ohio arrête l'auteur présumé de plusieurs viols de jeunes femmes et croit résoudre un cas facile : les victimes le reconnaissent formellement et celui-ci possède chez lui la totalité de ce qui leur a été volé. Il nie pourtant farouchement. Son comportement étrange amène ses avocats à demander une expertise. On découvre qu'il possède une personnalité multiple.

Seize nouvelles qui constituent des histoires et des confidences sur la vie, l'amour, les joies et les peines.

P. Mathieu, poète, est également auteur de nouvelles, historien et folkloriste.

Une histoire d'amour, le temps d'un été, entre Grady, une jeune fille de la haute société, et Clyde, un jeune Juif mécanicien, sur fond d'Upper East Side et de canicule. La découverte d'un secret concernant sa soeur pousse Grady à se rebeller et à épouser Clyde. Quand la famille de Grady apprend cette nouvelle, l'histoire du jeune couple bascule et se précipite vers un drame.

Max refait surface dans la vie de Rosangella, quinze ans après leur séparation. Celle-ci se méfie, même s'il semble vouloir sincèrement renouer avec sa famille et fêter l'anniversaire de leur fille qu'il n'a pas revue depuis très longtemps. Les souvenirs refont surface et Rosangella comprend que la fête risque de mal tourner. Avec en fin d'album, les commentaires des auteurs.

1937. Dans la Mandchourie occupée par l'armée japonaise, une lycéenne de 16 ans laisse la guerre, les cruautés, les privations et les défis des Chinois et des Japonais passer autour d'elle, tandis qu'elle joue au go, place des Mille Vents. Prix Goncourt des lycéens 2001. Avec un commentaire qui met en lumière les particularités narratives du récit, en insistant sur le contexte politique asiatique.

A treize ans, comme la plupart des jeunes fille siciliennes du XVIIIe siècle, la duchesse Marianna est mariée à un vieil oncle maussade... Murée dans le silence et la solitude, elle trouve refuge dans la bibliothèque, et va parvenir lentement à conquérir sa liberté.

Anthologie des pages consacrées à son engagement dans l'écologie au cours des années 1970 : marée noire, pollution, laideur de l'urbanisme, nucléaire... Cet album regroupe également des textes où l'auteur explique comment fonctionnent le solaire et les éoliennes.

Neuf nouvelles ayant pour thème l'art et la perception que chacun a des oeuvres. Un vieil artiste passe sa vie à recopier encore et encore jusqu'à ce que la copie se détache du modèle, un homme est en admiration devant une Vénus qui part en rénovation, une mère fait découvrir un tableau plein de souvenirs à son fils, etc.

Les trois premiers volumes de la série Les sales blagues de l'Echo.

Une femme, sa fille, son amant... et son mari disparu. Non pas défunt, mais mystérieusement évanoui dans la nature. Le seul indice qu'il a laissé est le mot Manazuru écrit dans son journal. Ce qui amène sa femme à se rendre régulièrement dans la station balnéaire du même nom. Comme toujours dans les romans de Kawakami, le temps se tisse lentement et le secret des coeurs se donne à lire dans les gestes, les étreintes éphémères, la délicatesse des sensations. Mais dans Manazuru plus que dans les autres, la présence d'un monde invisible imprègne le quotidien et bouleverse la géographie sentimentale des êtres. Là-bas, au bord de la mer, il y a le bruit de la pluie dans le ciel immense, l'éblouissement d'étincelles d'un incendie, l'envol de hérons blancs sur des maisons en ruine : un instant de lumière à saisir, peut-être, entre apparition et disparition, souvenir et oubli, mystère de l'absence et appel de la vie.

Après "Beyrouth, la trilogie", Barrack Rima retourne au Liban pour accompagner le lecteur dans sa ville natale, Tripoli. Le voyage que Rima nous propose ici est un retour intimiste à la dimension familiale et à l'enfance. Une errance dans l'espace et dans le temps qui mêle réalités et rêves, dont le point de départ est un rêve d'enfant resté inexpliqué, et la destination, le besoin inassouvi de le démêler. Pour accomplir ce retour aux origines, Rima choisit un taxi collectif. Ce moyen de transport en commun si répandu au Liban, est un vrai microcosme grouillant de vie et de vies, où les passagers se partagent, le temps d'un parcours, non seulement une voiture mais aussi des histoires, devenant à la fois narrateurs et spectateurs. Cet espace public en mouvement devient ainsi le théâtre où les récits des uns et des autres nourrissent la quête de l'auteur. Le départ, l'exil forcé et l'exil volontaire, le sentiment d'étrangeté, la dimension de l'entre-deux, le masculin et le féminin... L'amour, la sexualité, les interdits et les tabous - ceux fantasmés et ceux que l'on retrouve dans le répertoire de la poésie arabe classique -, sont parmi les nombreux sujets explorés à bord de ce taxi qui accompagne Barrack Rima dans sa recherche intime, au bout de son rêve d'enfant. Pour donner du sens à cette recherche, Rima use de diverses techniques et de divers langages graphiques : dessin, pinceau, collage, photos de famille, photos d'archive, presse et livres puisés dans la riche littérature érotique arabe.

"Beyrouth", "Beyrouth Bye Bye", "Beyrouth Rewind" : les trois chapitres regroupés dans cette trilogie disent l'attachement de Barrack Rima pour son Liban natal. Mêlant documentaire et science-fiction, Rima nous invite à le suivre dans le labyrinthe de sa mémoire et de sa ville, rongée par les promoteurs immobiliers, envahie par les déchets et leur puanteur, où chauffeurs de taxi, marchands ambulants et conteurs côtoient « tortues ninja » et « crocodiles », exilés et réfugiés, où règnent miséreux et débrouillards, mais aussi l'argent roi, le béton, la corruption et la censure. Ainsi se côtoient l'endroit et l'envers de Beyrouth, le présent et le passé, les rêves et la réalité... Des mouvements de contestation des années 60 à ceux d'aujourd'hui, des idéaux qui animaient autrefois la jeunesse au désenchantement présent, Rima nous propose un retour intime sur l'histoire récente du Liban et nous interpelle : que sont devenus nos rêves, nos espérances et nos révoltes ? VINGT ANS SÉPARENT LA CRÉATION DE CES TROIS OUVRAGES QUI PARAISSENT AUJOURD'HUI EN UN SEUL VOLUME.

A la fin de la Seconde Guerre mondiale, le poète flamand Ferdinand Vercnocke fut condamné à dix ans de prison pour collaboration avec le régime nazi, puis libéré en 1949. Dans la famille Vercnocke, on ne parlait guère de ce sombre passé, même après la mort de Ferdinand en 1989. Le seul souvenir que Wide Vercnocke avait de son grand-père était celui d'un visage figé par la mort... Sa grand-mère lui disait souvent que plus tard, quand il serait plus âgé, il comprendrait... Mais aujourd'hui, Wide est adulte et il ne comprend toujours pas. Pire, en constatant la ressemblance physique entre lui, son père et son grand-père, il se demande si cette hérédité s'étend à d'autres domaines. Porterait-il une forme de responsabilité pour les actes commis par son grand-père ? La conception de L'Homme Triple s'est étalée sur quatre années, nourries de contacts intenses entre Wide et son père, au cours desquelles tous deux se sont confrontés non seulement à ce passé, mais aussi et surtout à eux-mêmes et à leur relation l'un à l'autre. Dans L'Homme Triple, Wide Vercnocke aborde cette histoire personnelle avec sa voix unique et distinctive : poétique, stylisée, mêlant éléments autobiographiques et réalisme magique.

De retour de l'île des Lestrygons, Nelson Lobster apprend que la princesse Lilas, dont la main lui a été promise, a disparu. Il reprend donc la mer et se dirige avec son équipage vers Orqueline, atoll qui est en guerre perpétuelle.

Un petit garçon pose à sa mère des tas de questions sur l'origine des vagues. Il s'imagine qu'on peut les collectionner, les installer dans un bocal, qu'elles ont leur propre cimetière et bien d'autres idées loufoques. La dernière page répond sérieusement à cette grande question.