Sur leur propre label Potomak le groupe sort un opus qui a nécessité plus de 200 jours de studio. Profond, cosmique, et dégagé de leur contrat avec Mute, Neubauten revient avec (selon leur fans) l'album le plus abouti et le plus élaboré. (Electre)

Sur ce qui pourrait sans aucun doute être l'un de ses meilleurs albums, le chanteur américain abandonne le côté 'fait maison' propre à ses précédentes créations et propose un album au son pop où sa voix et ses paroles si singulières sont aussi efficaces. (Electre)

Après trois ans de silence et ses tubes Les mains qui tremblent et Moi je voudrais qui tournés en boucle sur toutes les radios rock, le belge signe enfin son grand retour avec un album plus sombre mais tout aussi inspiré.

Ce deuxième album est une ouvre en quatre mouvements pour percusssions, guitare électrique, harpe, clarinette et bandes. Le compositeur y développe un procédé d'autosampling s'articulant autour du concept du double ou du replica, créant des liens subtils entre les parties instrumentales et leurs reflets électroacoustiques.

Depuis près de 20 ans le groupe a fait ses preuves dans la création de musique expérimentale pour les moments où les dures réalités de la vie rencontrent ses mystères existentiels. Sur cet album, Jamie Stewart explore une révélation récente et se souvient du pouvoir de la musique de surprendre et de nous connecter. En écoutant les chansons sur Oh no il est difficile de se sentir vraiment seul. Au lieu de cela, c'est un rappel que même lorsque nous sommes seuls, nous sommes seuls ensemble. L'album présente des artistes de tous les horizons musicaux, dont Sharon Van Etten, Haley Fohr de Circuit des Yeux, Liz Harris de Grouper, Alice Bag, Chelsea Wolfe, Owen Pallet et George Lewis Jr. De Twin Shadow.