2060, point de départ des voyages dans le temps. Il semble que quelquun a changé lissue de la Seconde Guerre mondiale, mettant à mal la théorie selon laquelle il est possible d'observer le passé sans le modifier

En 2060, les voyages dans le temps sont devenus chose courante et de nombreux historiens partent en mission. Soudainement, le labo des voyages temporels les annule toutes et modifie les programmes. Le plus terrible, c'est cette impression que l'histoire elle-même échappe à tout contrôle. La règle d'or établissant que nul ne peut modifier le passé semble ne plus être valable.

Depuis la Discontinuité la surface de Terre est partagée en plusieurs zones correspondant chacune à une période de l'histoire humaine, de la préhistoire à 2037. Pour percer le mystère des sphères argentées qui survolent la Terre et des signaux radio émis depuis Babylone, des cosmonautes et des casques bleus sont propulsés dans les armées d'Alexandre le Grand, de Gengis Khan, etc.

« Tant que nous vivrons, l'ennemi nous craindra. »Toute sa vie, Kyr s'est entraînée en vue du jour où elle pourrait venger la destruction de la Terre. Élevée dans les entrailles de la station Gaïa parmi les ultimes survivants de l'humanité, elle se prépare à combattre la Sagesse, la machine toute-puissante modeleuse de réalités qui a permis au Majoda de vaincre les humains.Ce sont les derniers rescapés. Les derniers combattants. Kyr est l'une des meilleures guerrières de sa génération, le bras armé d'une planète disparue. Mais lorsque le Commandement envoie son frère en mission suicide et ordonne à Kyr d'engendrer des fils jusqu'à ce que son corps cède, elle comprend que l'initiative de venger l'humanité lui revient.Accompagnée d'un captif extraterrestre et de l'ami - brillant mais séditieux - de son frère, elle quitte l'endroit où elle a toujours vécu et se retrouve projetée dans un univers bien plus complexe que ce qu'on lui avait enseigné, et plus extraordinaire que tout ce qu'elle avait pu imaginer.Un palpitant space opera queer qui évoque les horreurs de la guerre, la famille que l'on se construit et les choix que l'on fait lorsque toutes les portes se sont fermées. « Kyr est une révélation... Jamais je n'ai souhaité le pire à quelqu'un, pour finir par me rallier à sa cause... Cruel et sauvagement humain. » Shelley Parker-Chan, autrice de Celle qui devint le soleil« Un space opera profondément humain et brillamment construit qui vous fera rire, jurer et sangloter. Parfait. » Alix Harrow, autrice du Temps des sorcières« En deux mots : Mass Effect démolit Le Meilleur des mondes dans une ruelle malfamée. » Tamsyn Muir, autrice de Gideon la Neuvième« Ce livre vous fera souffrir et vous l'en remercierez... Cette lecture donne le sentiment d'un témoignage révolutionnaire. Il vous changera pour le meilleur. » Olivie Blake, autrice d'Atlas Six