Mélangeant des sons glam rock, industriel et électro à la voix sensuelle de Corner, ce sixième album de Chris Corner aka IAMX est aussi émotionnel que brutal, illustrant selon lui un retour à ses débuts, "un combat de l'Homme contre la machine", inspiré par une période personnelle difficile, marquée par des épisodes d'insomnie chronique... (Electre)

Durant presque deux décennies avec Supergrass, Coombes a été le visage excentrique de la pop indé et de la Britpop. Mais c'est avec son travail en solo qu'il s'est trouvé. Avec son album Matador, paru en 2015, il a révélé une nouvelle identité musicale, plus ambitieuse, plus émotive, plus cinématographique, pleine de surprises artistiques. Cela lui a valu une nomination au Mercury Prize. (Electre)

Le groupe a réussi à embrasser l'acoustique sans pour autant perdre son essence, et la douzaine de ces morceaux adorés par des millions de personnes en ressort plus organique, et peut être même encore plus voués à laisser leurs traces. Les synthés ont disparu, mais l'esprit celtique est toujours présent. (Electre)

Une introduction sur deux notes de basse désaccordée, posée sur des percussions lancinantes ; une envolée élégiaque de cordes se mêlant peu à peu à un monde électronique ; un hurlement de loup dément obsédant ; de la techno céleste et une acoustique sud-américaine ; des voix se muant en riffs harmonieux ; des paroles prises au hasard formant des monologues finement arrangés ; de la musique intellectuelle sur laquelle on peut danser... et le meilleur disque d'Underworld depuis bien longtemps. (Electre)

Après avoir sorti la réédition de son célèbre album Zombie Birdhouse et incarné un méchant zombie dans le dernier film de Jim Jarmush qui a ouvert le festival de Cannes, l'iguane revient avec un album produit par Leron Thomas. (Electre)

Le groupe anglais originaire de Leeds est de retour pour ce cinquième album. Plus qu'un retour, une renaissance suite au départ en 2012 du batteur historique Nick Hodgson et de l'arrivée de Vijay Mistry.

La chanteuse du mythique groupe anglais The Pretenders présente ici un premier disque en solo produit par Bjorn Yttling. Cet album inclut des participations aussi prestigieuses que Neil Young et John McEnroe. Le résultat forme une oeuvre ambitieuse et contemporaine, mêlant mélodies pop accrocheuses et textes touchants et denses, dont le premier single Dark sunglasses en est la parfaite illustration.

Enregistré dans son home studio à Oxford, le deuxième album solo du leader du groupe brit pop culte Supergrass est à contre-courant de sa carrière, présentant 11 titres d'une pop novatrice et ambitieuse, rappelant justement les meilleurs titres de la bande de Thom Yorke époque The bends et OK computer.

Moosebumps doit être considéré comme la vraie suite de l'album mythique de de 1996 Dr Octagonecologyst, énorme collaboration des artistes/producteurs Dan The Automator, Kool Keith et DJ Q-Bert. Kool Keith, alias Dr Octagon, a continué à sortir des projets par la suite, mais cela sans compter sur ses partenaires. Pour la première fois depuis plus de 20 ans, ce disque réunit la dream team en studio et sur scène. (Electre)

L'ex-leader de Sonic Youth se concentre ici sur la force du groupe, ainsi que sur sa beauté et sur ce qu'il a de plus prometteur : le sublime jeu de guitare de James Sedwards s'y déchaine, tout comme l'éthique groove minimaliste de Deb Googe et le dynamisme swing de Steve Shelley. (Electre)

Ce disque ambitieux a été influencé par les ouvres pop/progressives qu'il adorait dans sa jeunesse. Des disques sublimes tels que So de Peter Gabriel, Hounds of love de Kate Bush, Colour of spring de Talk Talk ou encore Seeds of love de Tears For Fears. Au niveau des textes, les onze titres de ce cinquième opus traitent du chaos paranoïaque environnant, dans lequel la vérité devient apparemment une notion de plus en plus floue. De l'observation de la vie quotidienne des réfugiés, des terroristes et fondamentalistes religieux, ainsi que d'un retour, les yeux écarquillés et peut-être plus joyeux, sur l'évasion que Steven a réussi créer à travers sa carrière jusqu'à présent. (Electre)

Le groupe a collaboré avec Brian Higgins (Pet Shop Boys, New Order, Gossip, ... ), ce qui, au-delà de l'apport d'une touche groovy, leur a permis d'approcher des auteurs comme MNEK (Madonna, Beyonce) ou Wayne Hector (Nicki Minaj). (Electre)

Le metal n'est pas qu'un style de musique : c'est un mode de vie, une source de motivation positive et d'inspiration. C'est pour beaucoup le son le plus excitant et le plus mémorable se faisant entendre à la surface du globe. Et les indestructibles londoniens d'Orange Goblin sont sans nul doute l'un des meilleurs orfèvres en la matière à opérer au sein de la perfide Albion. Fort d'une carrière de plus de 22 ans qui lui a permis de démontrer qu'il pouvait avec aisance manier doom fiévreux, stoner enfumé et heavy metal graisseux, le gobelin orange siège désormais à la table des seigneurs du genre. (Electre)