Simon n'est pas un adolescent comme les autres, apparemment. A la suite d'un accident cérébral, il s'est réveillé paraplégique. Pour le reste, hormis la chaise roulante avec laquelle il se déplace, lui se sent comme les autres, et il enrage de regarder de sa fenêtre le monde qui va et qui vient. Pour parfaire son cafard, les fameuses "Cent mille briques", la prison de la ville, font face à son immeuble. Simon s'amuse de l'ironie du sort, il s'amuse aussi parfois à les compter, ces cent mille briques. Un jour, le garçon se demande ce qu'il y a derrière ces murs, qui sont les gens qui y vivent contre leur gré. Il entame une correspondance avec Ben, un adolescent frondeur, beau, vivant, égoïste. Comme s'il voulaitlui aussi échapper à sa prison, Simon va tout faire pour sortir Ben de son ornière de petit délinquant : lui trouver un travail, lui offrir un toit, le sien, faire l'intermédiaire avec sa petite amie. Donner ne donne aucun droit sur les autres, Simon peine à l'admettre. Il souffre de la désertion de Ben, mais il est sûr d'une chose : jamais il ne regrettera cette aventure.

"J'espère que ça ne te dérange pas que je t'écrive mais j'ai vu ta photo dans le journal et je me suis dit que t'avais été drôlement courageux de descendre dans le puits pour sauver Victor, ton chien." C'est ainsi que Frankie, une petite fille délurée, commence une drôle de correspondance avec Damian, le riche héritier du domaine de Mortemart. Une correspondance qui va leur réserver bien des surprises... (Quatrième de couverture)

Des mots, des dessins, des ratures, des jurons...Parti à larecherche du fabuleux lion blanc, un vieil oncle perdu écrit à son neveu sa quête déraisonnable.

Simon n'est pas un adolescent comme les autres, apparemment. A la suite d'un accident cérébral, il s'est réveillé paraplégique. Pour le reste, hormis la chaise roulante avec laquelle il se déplace, lui se sent comme les autres, et il enrage de regarder de sa fenêtre le monde qui va et qui vient. Pour parfaire son cafard, les fameuses "Cent mille briques", la prison de la ville, font face à son immeuble. Simon s'amuse de l'ironie du sort, il s'amuse aussi parfois à les compter, ces cent mille briques. Un jour, le garçon se demande ce qu'il y a derrière ces murs, qui sont les gens qui y vivent contre leur gré. Il entame une correspondance avec Ben, un adolescent frondeur, beau, vivant, égoïste. Comme s'il voulaitlui aussi échapper à sa prison, Simon va tout faire pour sortir Ben de son ornière de petit délinquant : lui trouver un travail, lui offrir un toit, le sien, faire l'intermédiaire avec sa petite amie. Donner ne donne aucun droit sur les autres, Simon peine à l'admettre. Il souffre de la désertion de Ben, mais il est sûr d'une chose : jamais il ne regrettera cette aventure.

Une bagarre éclate dans la cour de l'école, le sang coule. Mais celui de Jérémy est contaminé par le virus du sida. Une histoire qui met en scène, avec finesse, des enfants directement touchés par le sida. (Livres-Hebdo)

" Chère Adèle, dis donc, réponds-moi quand je t'écris, sinon j'ai l'impression de parler toute seule comme une toquée et c'est désagréable ! Qu'est-ce que tu deviens, ma vieille ? " Lola écrit à Adèle, Adèle lui répond, et ne néglige pas Nicolas. Le dernier jour de leur CM2, à la dernière récré, ils se sont promis de ne pas s'oublier. Même s'il faut partir, même s'il faut grandir...

Un roman épistolaire se déroulant en 1982 dans lequel Cath, qui a rejoint un campus universitaire, échange des lettres avec son ami Scott, resté dans la ville où ils ont grandi. ©Electre 2017