En vingt ans, la Chine a accompli une spectaculaire métamorphose. Ce pays, fier de son passé, humilié par les agressions coloniales des puissances occidentales et du Japon, a cru, au temps de Mao Zedong, qu'il retrouverait sa dignité en fondant un modèle nouveau de société. Après les échecs successifs du Grand Bond en avant et de la révolution culturelle, le gouvernement, sous l'impulsion de Deng Xiaoping, a opté pour l'ouverture à l'économie mondiale. Progressivement réconcilié avec la diaspora entreprenante et riche, le pouvoir a su attirer ses capitaux pour reprendre une partie de son potentiel industriel vieillissant et créer de nombreuses entreprises performantes. Il a incité, par des mesures très favorables, les pays développés à investir sur son territoire. Ceux-ci ont vite saisi ces opportunités en concluant des contrats fructueux pour les deux parties. Les entreprises multinationales délocalisent leurs usines dans ce pays à bas salaires. Elles font naître quantité de filiales chinoises pour leur meilleur profit, mais aussi au bénéfice du pays qui en avait grand besoin. Le poids de la Chine dans le monde ne cesse d'augmenter. Désormais, elle occupe une place de premier plan, ce qui lui permet de faire entendre une voix assurée dans le concert des grandes nations. Elle est la rivale des Etats-unis dans toute la zone de l'océan Pacifique. Elle mobilise toutes ses forces pour devenir ce qu'elle a toujours voulu être : l'Empire du Milieu.

Index. - Les armées en guerre, les pèlerinages, les échanges commerciaux, les expéditions maritimes d'exploration ou de conquête ont mondialisé les épidémies (syphilis, typhus, dysenterie, choléra) bien avant les lignes aériennes. La recrudescence des maladies anciennes à la fin du XXe siècle et l'apparition de nouveaux fléaux comme le sida, remettent le sujet au premier plan de l'actualité.

Propose une exploration historique et géographique au sein du bassin méditerranéeen, depuis les civilisations antiques jusqu'au Moyen Age, en s'appuyant sur la navigation, nécessité économique et outil de conquêtes.

L'étranger : celui qui vient du dehors. Est étranger celui qui n'appartient pas à un groupe, clan ou famille, communauté villageoise ou quartier, cité ou nation : une définition négative qui implique le risque de rejet. Dès l'Antiquité, le mot " Barbare " exprime le refus et la défiance. Métèque étranger à la cité grecque, aubain étranger à la seigneurerie, musulman, juif ou hérétique étranger à la Chrétienté, étranger à la nation ou à l'" espace Schengen ", les situations évoluent mais se ressemblent. L'étranger est tantôt celui dont on a besoin et qu'on attire, tantôt il est celui que l'on exclut, psychologiquement, socialement, politiquement. Et pourtant, religions et courants philosophiques ont réfléchi à la spécificité de l'homme et à son universalité. Stoïciens de l'Antiquité gréco-romaine, Pères de l'église chrétienne, humanistes de la Renaissance, philosophes des Lumières, internationnalistes du XIXe siècle, " citoyens du monde " d'aujourd'hui, tous ont envisagé des formes de cosmopolitisme. Pèlerins et marchands, explorateurs et universitaires, artistes et capitalistes sont d'infimes minorités, les migrants de la guerre et de la misère sont le grand nombre

Le surréalisme n'est pas mort malgré ses fossoyeurs qui l'ont voulu enfermer dans des manuels, enterrer dans des musées ou banaliser dans des expositions. Le surréalisme, c'est cette résistance politique à tous les fascismes, à toutes les compromissions des intellectuels et des artistes mondains renifleurs de notoriété à la Dali, l'exclu des premières heures, à tous les impérialismes aujourd'hui se réclamant du libéralisme, qui prennent leur fondement dans le réalisme. Le surréalisme s'est donné pour programmes de libérer l'homme et la femme de toutes leurs chaînes

Cet atlas présente des cartes et des photographies et donne des repères historiques, politiques et culturels pour l'Autriche, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.

Cet atlas présente des cartes et des photographies et donne des repères historiques, politiques et culturels pour l'Autriche, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.

Cet atlas présente des cartes et des photographies et donne des repères historiques, politiques et culturels pour Chypre, Malte, la Grèce, le Portugal et la Slovénie.

En suivant, au jour le jour, la vie d'Arafat à la maison, avec ses parents, à l'école, mais aussi dans ses jeux, ses promenades, Arafat nous fait découvrir les coutumes de son pays et la vie en Tunisie

En suivant, au jour le jour, la vie d'Avinesh à la maison, avec ses parents, à l'école, mais aussi dans ses jeux, ses promenades, Avinesh nous fait découvrir les coutumes de son pays et la vie au bord du Gange

En suivant la vie de Maria sur les îles flottantes du lac Titicaca avec ses parents, à l'école, mais aussi pendant ses loisirs, découvrons une région du Pérou, au milieu de la cordillère des Andes

Pourquoi et comment les écrivains africains sont-ils passés d'une tradition poétique orale dans leur langue origonelle, à une expression généralement écrite, dans la langue du colonisateur français? Comment être soi-même et faire vivre sa culture dans ces conditions? L'oubli de la tradition, l'imitation d'une poésie, puis la révolte et l'invention de l'idée de "négritude" qui émerge aux Antilles et en Afrique noire à la fois pour enfin maîtriser le recours aux sources diverses dont disposait l'artiste noir: la tradition retrouvée, la sensibilité africaine et, pour véhicule, une langue française reconstruite au gré du poète. Des reproductions d'oeuvres d'artistes plasticiens noirs de notre siècle accompagnent le texte et montrent quelles réponses ils ont su apporter eux aussi au choc des cultures entre les anciens colonisateurs et les ex-colonisés

L'ouvrage présente une réunion paradoxale de la poésie, associée à la sensation, au sentiment et à l'imaginaire, et de l'humour, associé à la critique et la remise en cause.

En suivant la vie de Bouali à la maison, avec ses parents, à l'école, mais aussi dans ses jeux, Bouali nous fait découvrir les coutumes de son pays et la vie au bord du Mékong

La fête foraine est née au coeur des foires, ces grands marchés qui se déroulent en plein air depuis l'Antiquité. A partir du XVIIe siècle, les saltimbanques, de l'italien saltimbanco (celui qui saute sur le banc), sont accompagnés par d'autres attractions et de multiples jeux propres à ravir les foules, comme les stands de tir. Mais c'est la révolution industrielle qui permet le perfectionnement des manèges, toujours plus inventifs, et l'installation des fêtes foraines dans les villes. Karine Delobbe nous raconte l'histoire de ces fêtes, de leur origine à nos jours, dans ce charmant ouvrage illustré (qui sent presque la barbe à papa et les gaufres) et nous dévoile l'univers fascinant des artistes forains. (Véronique Dumas - www.historia.presse.fr)

Cette collection se propose de raconter l'histoire de vies particulières d'écrivains, de compositeurs ou de scientifiques. Ici, la vie de Marie Curie est décrite avec des anecdotes, des extraits de textes drôles ou émouvants. Des pages documentaires mettent en scène la vie de cette époque.