A travers trois longs monologues successifs, l'auteur dissèque l'histoire d'un trio amoureux. Chacun des personnages donne à son tour sa version de l'histoire, en un récit conçu comme un jeu de miroirs permettant de cerner au plus près la vérité de Peter et de ses ex-épouses, Ilonka, bourgeoise belle et cultivée, et Judit, la jeune bonne.

La psychiatre et thanatologue qui a lutté pour restaurer la dignité de mourir dans les hôpitaux, aider les personnes en soins terminaux, en particulier les enfants, témoigne des réactions des enfants face à la maladie et à la mort, et propose des pistes pour les accompagner dans ces circonstances.

Publiés en 1934 ces souvenirs romancés de l'écrivain et journaliste hongrois Sandor Marai font revivre toute une époque, le premier tiers du XXe siècle, dans un milieu privilégié, la grande bourgeoisie d'Europe Centrale.

L'acquisition d'un chien joyeux mais rebelle nommé Tchoutora bouleverse la vie d'une famille de la bourgeoisie hongroise du milieu du XXe siècle.

Esther a 45 ans. Un jour elle reçoit un télégramme : Lajos, le seul homme qu'elle ait jamais aimé, annonce sa venue. Elle n'a pas eu de ses nouvelles depuis 20 ans. Aventurier séduisant, imprévisible, Lajos lui avait dit n'aimer qu'elle, pour finir par épouser sa soeur Vilma, dont il a eu une fille, Eva. Quand Lajos arrive, Esther affiche une indifférence qu'elle est loin d'éprouver. D'autant plus que Lajos lui reproche de ne pas avoir répondu aux trois lettres qu'il lui avait envoyées avant de se décider, faute de réponse, à épouser Vilma. Cette fois il ne ment pas, ces lettres existent bien, il les a retouvées dans les affaires de Vilma, il les donne à Esther. (Bibliotéca Magazine)

La première partie de ce roman largement autobiographique se situe à Naples et brosse un tableau en couleurs de la population du Pausilippe. La seconde partie est une sorte d'enquête menée par le vice-questeur suite à la mort d'un étranger. Un agent de police, un prêtre franciscain et la veuve donnent chacun sa version.