La correspondance de Beethoven.

Livret accompagné d'un texte qui relate la genèse de l'unique opéra de Beethoven, de commentaires de Berlioz et de Furtwängler, d'un essai sur la mise en scène, de textes qui font écho au message de l'oeuvre et d'un synopsis.

Le film raconte l'histoire vraie du père de l'actuelle Reine Elisabeth, qui va devenir contraint et forcé le Roi George VI. Considéré inapte, fragile et incapable de s'exprimer en public, George VI retrouvera la confiance grâce au soutien indéfectible de sa femme et surmontera ses peurs grâce à un thérapeute du langage aux méthodes peu conventionnelles. Sa voix retrouvée, il réussira à convaincre le peuple anglais de déclarer la guerre à Hitler.

C'est à la veille de son quarante-troisième anniversaire que Beethoven connut son grand moment de gloire. Au pupitre de la Redoutensaal de l'université de Vienne, il dirigeait ce soir-là un spectaculaire Charity-Event, avec une pléiade de stars triées sur le volet. Le succès, en ce 8 décembre 1813, fut si monumental qu'il fallut redonner le concert quatre jours plus tard. Pour l'occasion, Beethoven avait pris à son bord un spécialiste ès divertissements : Johann Nepomuk Maelzel, "Mécanicien de cour" de son état et touche-à-tout de génie. De la fin de l'été jusqu'à l'automne 1813, Beethoven, assisté de Maelzel, fut occupé à la composition de La Victoire de Wellington. La Septième symphonie de Beethoven avait presque eu le temps de prendre de la patine, tant elle avait attendu avant sa création triomphale : bien que portant un numéro d'opus postérieur à La Victoire de Wellington, elle fut composée presque deux ans auparavant, de l'automne 1811 au printemps 1812. Sa carrière n'en fut que plus éclatante. (Electre)

Ignaz Friedman, Severin Eisenberger et Ignace Tiegerman sont trois maîtres de la musique de Chopin. Arbiter nous présente des enregistrements des années 20/30 pour les deux premiers, et 50/60 pour le dernier, ainsi qu'une pièce de Tiegerman enregistrée par Henri Barda en 1998. L'album s'accompagne d'interviews et témoignages de Nikita Magaloff ou bien Andres Segovia. (Electre)

La discographie du Quatuor Mosaïques est jalonnée d'interprétations de référence, multi-récompensées (Diapason, Classica, Télérama, Gramophone... ), de quatuors de Haydn, Mozart, Schubert, Beethoven... Après un long silence discographique, Erich Höbarth, Andrea Bischof, Anita Mitterer et Christophe Coin ont décidé de livrer leur version du sommet que représentent les cinq derniers quatuors de Beethoven - six, si l'on décide, comme c'est le cas ici, d'isoler la célébrissime Grande Fugue, "énigmatique dans sa sauvage perfection" comme la décrit si bien le Quatuor dans l'entretien figurant dans le livret du coffret. Ensemble cohérent de chefs-d'oeuvre exceptionnels où vibrent des dimensions métaphysiques, à peu près tous les sentiments humains et des concepts musicaux précurseurs, ce cycle représente une entité unique dans toute l'histoire de la musique. (Electre)

Ce projet unique du Quatuor Ebène trouve sa source dans l'universalité de la musique de Beethoven : sa quête de fraternité, la place donnée à la nature, tout comme sa modernité. Sa genèse remonte à 2014 quand le Carnegie Hall de New York a invité le groupe à jouer l'intégrale des quatuors à cordes de Beethoven en 2020 pour célébrer les 250 ans de sa naissance. Cette invitation fait naître l'envie de jouer cette musique autour du monde et pour, comme le dit l'Ode à la Joie, toute l'humanité. D'avril 2019 à janvier 2020 le quatuor parcourt le monde pour une quarantaine de concerts dans 18 pays et sur les 6 continents. Ce tour du monde bénéficie d'un programme de compensation carbone, orienté vers la reforestation. Ce premier volume a été enregistré en live à Vienne afin de préserver toute la sève et la ferveur nourrie par la présence du public. (Electre)

Après les Harmonies poétiques et religieuses, et la sonate en si mineur de Franz Liszt, François Frédéric Guy nous propose l'intégrale des 32 sonates de Beethoven enregistrées en public à l'Arsenal de Metz dont le présent coffret est le premier volume.

Pour cet album, Yuko Shiokawa et Andras Schiff s'illustrent dans un programme de sonates pour violon et piano aussi merveilleux que pertinent. (Electre)

De mars 2004 à mai 2006, András Schiff joua l'intégralité des sonates pour piano de Beethoven au Tonhalle de Zurich. Les concerts furent enregistrés par ECM pour la collection New Series et firent l'objet de onze albums, rassemblés dans ce coffret.

En l'honneur du 250e anniversaire de Beethoven, l'ensemble Compagnia Di Punto enregistre en première mondiale les trois premières symphonies du compositeur, dans des arrangements pour orchestre de chambre signés par deux de ses contemporains : son élève Ferdinand Ries et le compositeur Carl Friedrich Ebers. Ces nouvelles versions des symphonies leur confèrent un éclairage inédit, intime et bouleversant, donnant à entendre intonations et nuances des plus intéressantes. Fondée en 2010, la Compagnia Di Punto joue un répertoire allant du baroque aux premiers temps du romantisme. Elle s'est également donné comme objectif de découvrir pièces inconnues ou rarement jouées dans des instrumentations pour flûtes, cors et cordes. (Electre)