À la fin des années 1860, Paris gronde. Pour détourner la colère sociale, les gouvernants ciblent un ennemi extérieur, la Prusse. Mais le conflit vire au fiasco et, en septembre 1870, la capitale est encerclée. L'Empire s'effondre, un gouvernement provisoire est institué. Les Parisiens, eux, refusent de se rendre et organisent l'élection d'une Commune, proclamée le 28 mars 1871. Raphaël Meyssan nous plonge au coeur de cette révolution singulière grâce à un étonnant dispositif esthétique, construit autour de gravures d'époque.

A la veille du week-end, 3 braqueurs minables décident de cambrioler l'appartement d'un célèbre impressario. Or, l'homme d'affaires n'a pas un centime sur place. Il faudra attendre lundi et l'ouverture des banques pour récupérer un butin digne de ce nom. Braqueurs et victimes vont devoir passer le week-end ensemble !

Le quatuor, c'est une bonne formation pour orchestre, mais pour un braquage, c'est un peu trop. Edmond, Arthur et Rouquemoute ont besoin d'argent pour organiser un gros casse. Edmond convainc son ami Alphonse d'avancer les fonds. Mais l'affaire échoue, et Alphonse est le seul à se retrouver en prison. Pendant cinq ans, il rumine sa vengeance. Lorsqu'il recouvre la liberté, les ± cloportes » se sont métamorphosés en bourgeois respectables. Alphonse va devoir rafraîchir la mémoire de ses vieux amis. Des dialogues signés Michel Audiard, une distribution de première classe, une irrésistible série noire pour rire : voici l'un des grands succès du cinéma français.

Qu'est ce que la France ? Michel Audiard a sa petite idée, et nous livre une vision hilarante et iconoclaste de l'Histoire de notre pays. Charles de Gaulle, Philippe Pétain, mais aussi Yves Montand, les étudiants de Mai 68, l'Église, la Gauche, la Droite en prennent pour leur grade. Très politiquement incorrect, mais furieusement drôle.