Cet ouvrage dresse un panorama de l'histoire de la photographie à travers 300 clichés choisis dans la collection du plus important musée de la photographie en Europe.

L'évolution de la photographie amateur à travers plus de 400 illustrations. ©Electre 2024

En proposant à Marilyn Bridges de voler au-dessus de la Wallonie, nous avons parié sur sa créativité, sur ses sentiments, sur ses étonnements, sur le plaisir qu'elle prendrait à découvrir une région que nous aimons. Avec l'aide de la lumière, elle a transcrit les villes et les campagnes, les monuments et les châteaux, les industries et les canaux dans une langue nouvelle, faite de vides et de pleins, de formes et de valeurs, de gris subtils et de noirs somptueux.Dans cet éclatement kaléidoscopique, l'art de Marilyn Bridges est de souligner les traits essentiels de la Wallonie. (Quatrième de couverture)

Propriétaire terrien fortuné, membre de l'Association belge de Photographie, Raphaël de Sélys Longchamps (1841-1911) est une figure exemplaire de la pratique photographique en amateur pendant le dernier quart du XIXeme siècle. Il profitait de ses longs temps de loisir pour s'adonner à sa passion. Portraits, scènes de genre, paysages nous font ainsi découvrir la chronique d'une grande famille de la région de Liège.

Georges THIRY (1903 à Welkenraedt – 1994 à Ethe-Virton) est un photographe liégeois autodidacte, grand ami des surréalistes et ayant fait l’objet en 2001 d’une rétrospective au Musée de la Photographie à Charleroi. Georges Thiry a réalisé entre autres des photos de ses confidentes et amies prostituées. “Georges Thiry apparaît comme un phénomène dans le monde de la photographie en Belgique; un cas à part, hors norme. Première rétrospective de son oeuvre, l’exposition présentée [en 2001] au Musée propose un choix de près de 400 photographies. Une véritable redécouverte, car pour la première fois tous les aspects de son travail photographique seront exposés. Il y a des portraits d’artistes ou écrivains: Broodthaers, Magritte, Dotremont, Mariën, Bellmer, Tzara ou Ponge et de prostituées ou de gens de la rue…”