La liste des candidats probables à la présidentielle d'avril 2019 souligne de manière criante le non-renouvellement de la classe politique. Enquête sur une absence de relève qui a exacerbé le divorce entre l'élite dirigeante et la population. En complément, la tribune d'Anys Mezzaour, écrivain algérien : "Nous méritons mieux que le café du commerce".

Candidat à la présidentielle de 2019, il rêve de dynamiser l'opposition et d'introduire de nouvelles thématiques dans le débat public. Rencontre avec un ovni de la scène politique nationale.

Ce fils de l'une des grandes figures de l'indépendance algérienne entend reprendre le flambeau en se présentant à la présidentielle.

L'ancien Premier ministre a lancé sa campagne pour la présidentielle du 12 décembre 2019 dans un climat politique délétère. Son idée-force : éradiquer les vestiges de l'ancien régime et instaurer un etat de droit. Interview exclusive. En complément, la tribune de Sébastien Boussois intitulée "Benflis, candidat hirakocompatible".

En 2004 et en 2014, l'ancien Premier ministre était le candidat principal de l'opposition à l'élection présidentielle face à Abdelaziz Bouteflika. Le sera-t-il à nouveau dans moins de deux mois ? Interview.

Un mois après avoir avancé la date du scrutin présidentiel, le chef de l'État algérien ne s'est toujours pas prononcé sur ses intentions. Mais elles ne font guère de doute.

Mal élu en 2019, le chef de l'État est déjà donné gagnant du scrutin présidentiel du 7 septembre 2024 dès lors qu'il bénéficie du soutien de l'armée, des partis politiques, des confréries religieuses ou de la famille révolutionnaire. Mais si la réélection paraît acquise, les challenges pour le prochain quinquennat s'annoncent gigantesques.