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Actualités

«Jusqu’aux années 1950, un monde sépare les écoles réservées au peuple urbain et rural des lycées destinés à la bourgeoisie française. Soixante ans plus tard, la ségrégation sociale est toujours à l’œuvre sous le vernis du collège unique» constate Le Monde diplomatique dans son bimestriel thématique (juin-juillet 2021) « Manière de voir » consacré aux « Combats de l’école ».

Publié le 31 mai 2021

Les médias francophones n’ont accordé que peu d’échos à la disparition, le 1er mai dernier, du « roi du polar flamand », du « Simenon de Bruges », l’écrivain Pieter Aspe, à l’âge de 68 ans.Pourtant, en 25 ans, Aspe a publié près de 50 romans, qu’il a écoulés à 3,5 millions d’exemplaires, des chiffres que bien des auteurs francophones et même français pourraient envier. « Douze métiers, treize accidents », voilà comment résume la jeunesse d’Aspe (de son vrai nom Pieter Aspeslagh) l’indispensable site bilingue daardaar.be.

Publié le 18 mai 2021

Si les bibliothèques regorgent d’histoires, belles, effrayantes, tristes, amusantes, c’est peu dire qu’elles ne fourmillent pas complaisamment de récits, analyses et autres travaux de recherche sur leurs propres parcours. L’histoire des bibliothèques et, plus largement, de la lecture publique est presque une « terra incognita » non seulement pour les usagers mais même pour les travailleurs et décideurs du secteur.

Publié le 3 mai 2021

L’historien Stefan Bollmann nous l’avait appris – ou rappelé – sur le ton de l’humour provocateur dans son très beau livre sur la lecture féminine à travers la peinture et la photographie : « Les femmes qui lisent sont dangereuses ».

Que dire alors des femmes qui écrivent ? Et pourquoi y-a-t-il eu tant de femmes écrivaines en Angleterre au 19e siècle et si peu en France et en Belgique ? N’avons-nous pas eu nos sœurs Brontë, nos Jane Austen, nos George Eliot ? N’y aurait-il eu chez nous que des œuvres féminines médiocres, fort logiquement disparues ?

Publié le 23 avril 2021